Ce matin c’est tranquille, petit déjeuner avec des viennoiseries prévues par le propriétaire et départ à 9h.
Nous rejoignons rapidement le chemin et sa file continue de « marcheurs »
Bien sûr ça monte mais avec des vues magnifiques et un chemin pas facile.
Lorsque nous avons le choix nous prenons le chemin le plus court, une « souffrance » sur 70 m seulement !
Pause dans le 1er café rencontré avec toujours beaucoup de monde.
Admirez les tortues dans le bassin !
Sur notre chemin nous verrons beaucoup de greniers à céréales, beaucoup plus qu’au Portugal.
Nous arrivons sur le pont romain de Ponte Sampaio, connu pour avoir été le siège de la bataille livrée contre l’invasion napoléonienne.
Que des ruelles en pente ou escaliers
Nous continuons notre chemin toujours en montée et avec des chemins tous différents
- À la pause déjeuner nous avons appris qu’il y avait une panne d’électricité générale en France, Espagne et Portugal donc ce sera sandwichs.
La route l’après midi sera difficile sous le soleil, 27 degrés, et le long d’une route nationale.
Pontevedra est une très jolie ville, j’avoue avoir beaucoup aimé.
Lors de notre arrivée dans la ville c’est une drôle d’ambiance : des magasins sont fermés, les autres sont dans le noir, les DAB ne fonctionnent pas, c’est toujours la panne.
À l’hôtel ils n’ont même pas la liste des clients attendus, elle prend tout sur papier car plus d’internet non plus. La personne de la réception jongle comme elle peut avec les clients et les chambres faites ou pas ! Pierre va l’aider à faire le lit et monter les serviettes de toilette.
La grande majorité des restaurants est fermée et les autres ne servent que des boissons. Nous trouvons un petit magasin où faire des courses et la réceptionniste nous laissera dîner dans la salle du déjeuner. Vaisselle à la frontale dans le lavabo.
Nous croisons les autres clients avec des bougeoirs dans les escaliers et finalement tout le monde prend bien cette situation.
Surtout il faut économiser les portables qu’on ne peut pas recharger.
Soirée mémorable.
