Ce matin il ne pleut pas, Serge et Bernadette nous indique le chemin le plus court pour retrouver LE chemin mais qui passe dans les herbes hautes.
Nous choisissons de nous mouiller car ce chemin nous évite un grand détour, nous évitons St Hilaire et partons directement sur La Reole.
Une ville qui ne semble pas très engageante mais au détour d’une rue
Puis nous atteignons le pont qui est interdit à la circulation suite aux grosses crues du printemps qui l’ont fragilisé. Il n’est ouvert qu’aux piétons et vélos à condition qu’il ne gèle pas
Nous atteignons rapidement Floudes où trône une statue de dauphin mais nous ne trouvons pas d’explication, le temps de nous rebâcher et c’est reparti !
En poursuivant vers Bassanne nous faisons une longue pause café au :
Ils nous conseillent fortement de ne pas passer par les bois car les herbes sont très hautes et le chemin pas du tout entretenu. Ils ont contacté les responsables d’Aquitaine le matin même pour les informer de la situation.
Ils nous apprennent qu’ici ils ont l’habitude des inondations ! ils ont une barque pour se déplacer chez les voisins et s’entraider et tous les meubles sont sur roulettes pour pouvoir être déplacés facilement, l’étage a été réorganisé pour pouvoir y vivre plusieurs jours.
Nous découvrons une grosse église dans un tout petit hameau !
Rien de particulier sur cette route excepté le terrain de foot d’un village entretenu par des robots !!! Ce sont les 2 points noirs
Finalement nous arrivons à Pondaurat et nous passons la nuit au refuge municipal situé dans une ancienne commanderie des Antonnins fondée au XIème siècle et restaurée selon les exigences des Bâtiments de France, un grand étage pour nous seules
La vue depuis la douche…
Ce petit pont date également du XIème.
Nous sommes les 2 seules hébergées pour cette nuit.
Demain sera une petite journée pour rejoindre Auros.